
70% – Épisode 77 – Sébastien Ouellette
Natif d’une région nordique marquée par une tradition ouvrière, ce n’est pas un hasard si les métaux, le bois et la neige sont mes matériaux de prédilection. C’est en exerçant différents métiers dans les ateliers de fabrication que j’ai développé mon approche particulière à l’art, qui s’appuie sur les techniques d’assemblage industrielles et l’esthétique brute des matériaux de construction. Je cherche à inscrire la figure humaine dans cette matière, de façon à l’anthropomorphiser et ainsi accomplir une fusion symbolique entre l’humain et le produit de sa culture matérielle.
Chroniqueurs
Tommy Gaudet à l’animation
Bruno Corbin aux nouvelles
avec
Jonathan Simon
Mathieu Boudreau
Florence Payette
Coralie Lap
Simon Cussonet
Monologuiste
J-F Denommée
Encanteur
Moustafa Chamli
Collaborateurs
Jean-Sebastien Gaudette, Damien Blass-Bouchard, Simon X. Portelance, Andy Jacques, Laurent Aglat, Etienne Lapointe, Chinook, Nicolas Daviault, Elise Laflamme, Audrey Deschenes, Alexandre Larocque, Mathieu Potvin, Maxime Sauriol, Gabriel Lanthier, Karolann Veilleux, Suzy Labelle
Film
Jours d’enfer, vf de Days of Hell
days of hell uk video cover
Année: 1986
cote: -9,12
Infos: Italie, guerilla à rabais. Voyez Conrad Nichols et son ami clone du chanteur des Bee-Gees faire le coup du Cambodge et toutes sortes d’autres stratégies insipides à des tamouls franchement trop cons. Il faut voir ce film, c’est trop régulièrement impossible et drôle… Un autre des premiers douteux que nous avons jadis loué. Quelque part en 1996, au Super Choix 24 heures de VD. On était près cependant cette fois là, on savait ce que l’on cherchait. Et, dans tous les aspects, on le trouva, WOW. Résultat du runaway production américain, crosse financière utilisée surtout par les USA pour contre-attaquer les quotas de films exportables/importables, Days of l’enfer, jours of hell, est un amalgame de tout ce qui peut faire mal à un amateur de cinéma.
Séquences d’actions vaines, acting abysmal, scénario scène par scène, WOW.
Bien que l’on doivent affronter quelques 15 minutes de dialogues infectes situant l’action en début de film, on peut quand même surprendre Conrad Nichols, dans le rôle du Capitaine Williams, lors d’une séquence d’entrainement facultative, dans son apparat de quasi bédaine pour rien qui a fait sa renommée auprès des vrais amateurs du domaine douteux.
Donc, accrochez-vous, vous êtes près de subir un des 5 moins bon film que j’aie vu de toute ma vie, et la liste de l’Encyclopédie contient plus de 1000 films. Si on fait de la mathématique rapide, I giorni dell inferno est plus douteux que 0,05 % des films que l’on s’est arrangé pour croiser dans le but d’y trouver du douteux.
Pour les plus intimes au mouvement, remarquez la dame qui va mourir vers la fin, remarquez sa litanie incessante qui mène immanquablement au rire, un râle de moribond comique aux larmes…Du rarement vu ça.
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